si Dieu existe, keske tu vas lui dire le jour du jugement??

Clotilde, dans un instant d’égarement visuel de la pupille gauche nous confia cette observation : « Ce n'est pas Mme abuzin ni M. Tourterelle qui ont inopinément interrompu la séance musicale dont abuzin s'apprêtait à interpréter la partition en grand virtuose virtuel et verbal qu'il est, mais.................la femme de ménage.......pour preuve son aspirateur qu'on aperçoit à gauche sur la photo.... »

Mise à jour, l'aspirateur était à droite de la photo.

L’ange gardienne Clochette, si mignonne avec son joli nez retroussé pour regarder péter les anges (1) m’a confirmé la version historique des faits précédemment rapportés.

Elle a même ajouté le témoignage des voisins les plus proches d’abuzin, M. et Mme Pœllamazoutte, tous deux originaires de Zudentaal en Gelbique flamande. Il faut dire, pour la petite histoire que M. Pœllamazoutte est un agent de la DDT (2) Gelbe.

Il était environ et approximativement à peu près aux environs de neuf heures douze minutes dix-sept secondes et cinquante-huit centièmes du matin, c’était la pleine nuit sans lune au Québec quand M. Pœllamazoutte ouït ceci. Aussitôt il s’interrogea lui même en flamand (je traduis ici) « qu’ouis-je ? » puis appelant, son épouse il lui demandant : « ouïs-tu ? » ce à quoi elle répondit « oh oui j’ouïs ».
Écoutant de concert la musique merveilleuse qui sortait de la viole de gambe de Tourterelle (si vous avez cliqué sur le lien, vous l’entendez aussi) le couple s’interrogea de plus belle : « Mais qu’ouillons nous de si merveilleusement beau ? » alors, tels les enfants ensorcelés par la flûte de Hamelin M. et Mme Pœllamazoutte se dévêtirent complètement et s’en allèrent en courant se jeter dans le canal de Charleroi.

Une bien triste histoire n’est-ce pas ?

Il faut dire que Madame xxxx n’avait pas choisi au hasard la musique de Marin Marais car elle savait bien qu’en 1667, lorsque Marin Marais devint enfant de chœur à Saint-Germain-l'Auxerrois il y rencontra abuzin qui était également enfant de chœur sous la houlette de François Lalouette le vicaire .

(1) Oui, oui, les anges pétent aussi, comment expliquer autrement l'expression populaire "on sentait passer un ange" ?
(2) DDT est l'acronyme des services secrets Gelbes, il signifie "Défense Divisionnaire du Territoire". Very Happy

**** Nombre de messages : 231 Date d'inscription : 01/04/2006

Je trouve l'idée de l’hallucination collective intéressante. Mais se ne sont pas des hallucinations dû à des "hystéries féminines". En fait je dirais que la source de ces hallucinations est "d'hystéries masculines". Donc il s'agit bien de phantasmes masculins non partagé et dont je ne suis nullement responsable d'avoir provoquée (tentative de viol virtuel) n'étant pas une nana mais une sainte nitouche (à ne pas oublier) et bien incapable de telles pensés. Embarassed

Alors j'accuse encore cette tête (abuzine) qui privé d'émotions (coeur) ce laisse maintenant envahir non pas par des pensés dites "cohérentes" mais par les émotions, au point de perdre de vue la réalité. Il s'agit bien de phantasmes masculins qui si ils sont partager ne le sont que par un auditoire masculin. Ce qui me laisse à penser que notre juge lui même c'est laisser tenter (corrompre) par les visions fantasmagoriques venant de cette tête (abuzine).

P.s. Ne pas oublier les preuves écrites de cette tentative de viol virtuel belle et bien présente sur ce forum. J'en demande évidement le retrait immédiat non seulement sur ce topique mais aussi dans cette tête (abuzine). Basketball

Tourterelle a écrit:: P.s. Ne pas oublier les preuves écrites de cette tentative de viol virtuel belle et bien présente sur ce forum. J'en demande évidement le retrait immédiat non seulement sur ce topique mais aussi dans cette tête (abuzine).

Tu es sérieuse ou tu plaisantes ?

La guerre naquit un jour de l'absence d'humour parmis les humains.

Tourterelle a écrit:

P.s. Ne pas oublier les preuves écrites de cette tentative de viol virtuel belle et bien présente sur ce forum. J'en demande évidement le retrait immédiat non seulement sur ce topique mais aussi dans cette tête (abuzine).

Tu es sérieuse ou tu plaisantes ?

Je pourrais comprendre : s'il vous arrivait de lire un tel post au sujet de votre épouse que je suppose charmante. Garderiez-vous votre humour ?

Ensuite l'aspirateur est de l'autre côté, votre perception de la réalité est-elle sélective, papi ?

Charlotte a écrit:

Tourterelle a écrit:: Tourterelle a écrit:

P.s. Ne pas oublier les preuves écrites de cette tentative de viol virtuel belle et bien présente sur ce forum. J'en demande évidement le retrait immédiat non seulement sur ce topique mais aussi dans cette tête (abuzine).

jemrobe a écrit:: Tu es sérieuse ou tu plaisantes ?

Je pourrais comprendre : s'il vous arrivait de lire un tel post au sujet de votre épouse que je suppose charmante. Garderiez-vous votre humour ?

Je vois que même Charlotte est fâchée à mort car elle ne me tutoies plus. En réponse à ta question, Charlotte, je sais faire la part des choses entre le monde réel et le monde de la déconne, et tu peux dégoiser toute ta bile sur mon épouse ou sur moi même avec la même espérance de me fâcher que si tu voulais mouiller un canard en l'aspergeant d'eau bênite.

Charlotte a écrit:: Ensuite l'aspirateur est de l'autre côté, votre perception de la réalité est-elle sélective, papi ?

Effectivement, à droite de la photo il est !
J’avoue bien humblement que je ne l'avais pas remarqué et que je me suis laissé piéger par l'indication de Clotilde qui disait que l'objet en question se trouvait à gauche de la photo.

Errare humanum est, sed persevare in errare diabolicum est.

Ne voulant pas être taxé de persévérance diabolique je corrige immédiatement mes erreurs factuelles et je censure illico toute référence à la susceptible Madame xxx dans tous mes écrits.

Non, je ne suis pas fâchée du tout.
Je suis une grande pacifique l'idée de l'hallucination collective en est la preuve, elle déculpabilsait tout notre beau petit monde. Et la folie passagère de ce cher abuzin drogué de pillules bleues.

Et je suis heureuse pour mami jemrobe que tu saches faire la part des choses.
Je m'oblige à la pudibonderie car elle est de bon ton : je ne suis qu'une petite femme.

Charlotte

Ah la pudibonderie, la pruderie, le puritanisme, vois-tu Charlotte, ça me fiche la trouille tout ça.

Pudibonderie, tiré de la définition du Littré.
« Par un raffinement de pudibonderie dévote, et aussi parce qu'il n'y a pas de petites économies, Mlle Constance avait pour habitude de s'habiller sans lumière... »

Où la pudibonderie nous amène t’elle ?

si Dieu existe, keske tu vas lui dire le jour du jugement?? - Page 3 Pudibonderie

L'image innocente d'un bébé tétant le sein d'une femme, publiée en Une d'un magazine américain pour les mères de famille, a provoqué l'indignation de nombreux lecteurs qui ont qualifié cette photo de dégoûtante et choquante.
« J'ai été choquée de voir une poitrine géante sur la couverture de votre magazine", s'est plainte une lectrice du Kansas en écrivant à la rédaction du magazine "Babytalk ».
« Je me suis sentie blessée et mon mari a été très mal à l'aise quand j'ai laissé le magazine traîner sur la table », a-t-elle ajouté.
Le magazine a reçu quelque 5.000 lettres suite à cette photo publiée dans le numéro d'août 2006.
Cette photo était en fait destinée à illustrer un article sur la controverse née aux États-Unis sur la pratique de l'allaitement en public.
Selon un sondage conduit par l'association diététique américaine, 57% des personnes interrogées sont contre l'allaitement en public et 72% estiment qu'il est "inapproprié" de montrer une femme en train d'allaiter dans des programmes télévisés.

Ou encore :
Les étudiants de l´université d´Antioche dans l´OHIO, avant tout flirt, doivent passer un contrat stipulant jusqu´où les deux parties envisagent d´aller ("conter fleurette", en s’anglicisant, s´est singulièrement dépoétisé !).
Si, emporté par leur élan, les contractants désirent aller plus loin que prévu, il leur faut, pour se payer un codicille, reconvoquer un tabellion « sexual harassment » oblige !

Cette rigidité des mœurs, (si tant est q’une telle froideur dans les rapports humains puisse engendrer une quelconque rigidité), s’exerce tous azimuts.

L’apothéose est arrivée avec le Mouton Rothschild 93.
L‘étiquette représente une adolescente nue, un de ces « archétypes angéliques » qui sont récurrents depuis vingt ans dans l’œuvre de Balthus.
Les ligues de vertu, si puissantes outre-Atlantique, avec un regard salissant toute chose et une poubelle en guise de cervelle, ont contraint la Baronne à retirer la vignette scandaleuse du marché américain.

Si la Belle Rencontre devait devenir un lieux où la pudibonderie et le politiquement correct devenaient la règle je n’y ferais pas de vieux os…

Admin Nombre de messages : 376 Date d'inscription : 01/04/2006

Charlotte a dû vouloir dire pudeur et non pudibonderie.

Quant à la réaction des américains concernant la très jolie image d'un bébé qui tête, ce n'est pas de la pudibonderie. C'est tout simplement de la bêtise, du ridicule.

Quand on voit les films de violence qui viennent tout droit des Etats-Unis ............ Et leurs idoles du show-biz se montrant nues .........

Ah là là, je préfère ne pas en rajouter.

Mais j'ai trouvé cette polémique d'un ridicule, mais d'un ridicule, c'est pas possible ......

f u c h s i a a écrit:: Mais j'ai trouvé cette polémique d'un ridicule, mais d'un ridicule, c'est pas possible ......

?

Admin Nombre de messages : 376 Date d'inscription : 01/04/2006

Qu'est-ce que tu ne comprends pas Jemrobe ?

f u c h s i a a écrit:: Qu'est-ce que tu ne comprends pas Jemrobe ?

Je ne comprends pas bien de quelle polémique il pourrait bien s'agir, le sein dénudé aux USA peut être ?

Sinon, si tu penses aux dérapages provoqués dans ce fil par le délire à connotation sexuelle d'abuzin et le délire déconnant habituel de jemrobe, je n'appellerais pas ça une polémique, du moins dans ma conception de la chose.

Polémique adj. ou n. f.

Nom : Argumentation agressive dirigée contre un adversaire particulier.
Débat violent opposant des idées.
Adj: qui suppose une attitude critique.

Registre polémique : il se manifeste à partir d'un désaccord profond sur un sujet donné, l'auteur combattant des personnes ou des thèses sur un ton violent.
On peut y trouver les procédés de l'exagération (hyperboles, superlatifs), des termes dont les connotations sont très négatives ou dévalorisants (péjoratifs), de figures de l'ironie, des critiques etc.