L'heure de gloire

abuzin a écrit:

L'idée de mettre dans mon lit un être dont la vocation est d'avoir du poil sur les jambes me révulse. Comment les femmes font-elles pour supporter ça ?

abuzin

Si j'en crois Brassens, le gorille est dans l'étreinte bien supérieur à l'homme, alors, les poils ne doivent pas être un problème.
Enfin, tu verras bien le moment venu.

À propos de poils aux jambes, j'ai lu la phrase suivante sur un blog canadien :
" Et de voir André Boisclair s'exciter le poil des jambes sur la capacité du Québec à être un état indépendant."

L'expression "s'exciter le poil des jambes" me plaît beaucoup et démontre, abuzin, que tu n'auras rien à redouter des jambes velues si tu te réincarnes en Québécoise.

Dans tes épitaphes préférées tu en avais réservée une au député ayant voté la loi protégeant les non fumeurs et que tu considères, par un retournement dialectique fumeux, comme une loi anti-fumeur...

Dans cette optique je viens de lire une blague plus ou moins liée à ce sujet et je ne résiste pas au plaisir de te la servir :

Je vous serais reconnaissant, dit un buraliste à un monsieur, de ne pas fumer dans mon magasin.

Il me semble que si vous vendez des cigarettes, la moindre des choses serait d'autoriser vos clients à en faire usage répond le fumeur.

Je l'accepterai bien volontiers si vous pouvez m'assurer que, lorsque vous allez acheter des préservatifs chez la pharmacienne, elle vous permet de faire l'amour dans son officine.

Et comment va la santé?

Merci pour ce bilan de santé concernant Jemrobe. Visiblement pas d'ennui mécanique...

Et la santé du sieur Abuzin, qui, il n'y a pas si longtemps, se croyait à la veille de son "heure de gloire"...?

euh...je sais plus là, maintenant...j'ai comme un doute.... ...c'était à la jambe ou à la tête qu'il y avait un problème..???

Citation :

Abuzin n'a plus aucune certitude et n'en veut aucune. Il mourra comme il est né : sans bouger, juste en regardant et en se regardant mourir après s'être regardé vivre.

Ouais....

C'est peut être à ça que sert la vie. Toute sa vie l'homme se cré des certitudes qui sont un poid qu'il traîne avec lui et l'empêche de s'envoler. Et la vie le dépouille peu à peu du poid de ses illusions. L'homme enfin dépouillé de l'inutiles devient humble (simple) et peu enfin s'envoler en toute liberté.