C'est vrai, Abuzin, que je ne me suis guère présenté. Que dire ?
Que je suis retraité : ma vie professionnelle est terminée. J'ai eu un métier de relations. J'exerçais des fonctions de formateur auprès d'enfants puis auprès d' enseignants. Je me suis mêlé à des mouvements éducatifs s'adressant à des enfants, des adolescents, des adultes et cela sur le terrain pratique des centres de vacances. L'éducation physique dans toutes ses dimensions, du sport, à la danse, à la natation ou au yoga, fut mon domaine de prédilection.
Je suis veuf depuis longtemps. J'ai un fils, marié, mais n'ai pas de petits enfants.
J'ai, depuis mon veuvage, vécu dans beaucoup de milieux favorables aux relations : un peu de politique, de spiritualité non religieuse, de rencontres réservées à des adultes non mariés ( veufs, célibataires, divorcés ).
Je vis de préférence en solitaire, près du centre géographique de la France. En ce moment, une amie me fait l'honneur de vivre auprès de moi.
Mes journées sont consacrées à des activités presque ritualisées. Lecture, écriture, peinture, yoga, jardinage, apprentissage Anglais et Chinois, musique ( Jeu, sans support de partitions : guitares, accordéons diatoniques, synthétiseur, harmonica ... ) informatique, télévision. Certaines activités sont journalières, d'autres hebdomadaires.
Ce qui me reste à faire dans la vie ?
Rien qui ne me fasse sortir de l'isolement où je me complais. Participer, si peu que ce soit, à construire un monde meilleur, dans le sens que je considère comme tel : davantage d'amour, de bien-être, de lucidité.
Ceci est ma devise et je soutiens un site qui voudrait promouvoir une évolution dans ce sens. En pure utopie ! Je participe à quelques forums ; si j'y parais quelques fois péremptoire c'est par choix d'un style que je voudrais clair. Qu'on me pardonne ce qui peut sembler une assurance excessive. En fait je suis un sceptique, mais il n'est qu'un seul sens rentable : avancer.
Espérant ne pas avoir retiré le voile jusqu'à l'impudeur, voilà quelques éléments de présentation à tous et à toutes, et, à toi, cher Abuzin, toi qui sais quelques éléments plus intimes- que je t'ai confiés.